A huit ans, ils inspirent une grande terreur.
Sous la couverture on y pense tout en sueur.
A dix huit ans ils nous fascinent et font peur.
Heureusement que l’on vit des histoires de cœur.
A vingt-huit ans on n’aperçoit plus leurs lueurs.
La vie coule sous la peau, on cueille les fleurs.
A trente-huit ans, ceux qui nous en parlent écœurent.
La laitière est belle avec son teint de beurre.
A quarante-huit ans on croise, on les effleure.
Vivants entre douleur et intime bonheur.
A cinquante-six ans on les voit presque.
Des danseurs qui exécutent une fresque.
Quand j’aurai plus, je me joindrai à la danse.
Un jour viendra dans ce cosmique immense.
Je ne ferai pas pour ce petit cette erreur.
Je ne serai que père Noel et que bonheur.
Sous la couverture on y pense tout en sueur.
A dix huit ans ils nous fascinent et font peur.
Heureusement que l’on vit des histoires de cœur.
A vingt-huit ans on n’aperçoit plus leurs lueurs.
La vie coule sous la peau, on cueille les fleurs.
A trente-huit ans, ceux qui nous en parlent écœurent.
La laitière est belle avec son teint de beurre.
A quarante-huit ans on croise, on les effleure.
Vivants entre douleur et intime bonheur.
A cinquante-six ans on les voit presque.
Des danseurs qui exécutent une fresque.
Quand j’aurai plus, je me joindrai à la danse.
Un jour viendra dans ce cosmique immense.
Je ne ferai pas pour ce petit cette erreur.
Je ne serai que père Noel et que bonheur.